Parfois, dans la vie, on se dit qu'on a bien de la chance. Par exemple hier, j'avais envie de manger un cheeseburger, et ça tombait bien, il y en avait un dans le congélateur. Ah oui, et aussi, j'ai vu, en compagnie de Damien, les six premiers épisodes de la saison 6 de Kaamelott, à l'avant-première au Grand Rex. Il n'y a guère d'autre mot : c'était exceptionnel.
Cette saison est très différente des précédentes. A.A. est clairement devenu l'un des meilleurs réalisateurs de sa génération, combinant un sens inné du rythme avec des envolées lyriques rappelant la saison 5. On rit beaucoup (on a même droit à un DTC, si si !), on découvre les us et coutumes de la Rome vieillissante, et on partage des tranches de vie souvent touchantes. On fait la connaissance de nombreux nouveaux personnages, géniaux pour la plupart, on apprend la "vérité" sur la raison pour laquelle Karadoc aime autant la nourriture (et elle est vraiment surprenante !), et surtout, surtout, ça a franchement épaté toute la salle entière : la raison pour laquelle Arthur n'a jamais touché Guenièvre ! Non, je n'en dirai pas plus... J'ai envie de me replonger dans cet univers-là, à cheval entre les clodos de Bretagne et la décadence romaine. On a l'impression que chacun de ces peuples est conscient de ses propres limites, de sa propre destinée. (Reste 2144 caractères)
Cette saison est très différente des précédentes. A.A. est clairement devenu l'un des meilleurs réalisateurs de sa génération, combinant un sens inné du rythme avec des envolées lyriques rappelant la saison 5. On rit beaucoup (on a même droit à un DTC, si si !), on découvre les us et coutumes de la Rome vieillissante, et on partage des tranches de vie souvent touchantes. On fait la connaissance de nombreux nouveaux personnages, géniaux pour la plupart, on apprend la "vérité" sur la raison pour laquelle Karadoc aime autant la nourriture (et elle est vraiment surprenante !), et surtout, surtout, ça a franchement épaté toute la salle entière : la raison pour laquelle Arthur n'a jamais touché Guenièvre ! Non, je n'en dirai pas plus... J'ai envie de me replonger dans cet univers-là, à cheval entre les clodos de Bretagne et la décadence romaine. On a l'impression que chacun de ces peuples est conscient de ses propres limites, de sa propre destinée. (Reste 2144 caractères)