Déjà un mois de silence sur le blog... Non, aucune raison spéciale à cela. Juste un p'tit coup de barre, comme ça arrive de temps en temps à tous les bloggueurs. À chaque événement dans mes journées, l'envie d'en parler sur le blog, et puis le temps d'arriver sur le PC, j'étais déjà passé à autre chose, ou en train de jouer à Two Worlds... Un sympathique petit RPG qui n'a malheureusement pas l'humour d'un Oblivion - Shivering Isles mais un gameplay beaucoup plus intéressant, ce qui compense un peu... Ah, mais on me signale que je ne suis pas en mode "jeux vidéo" mais "cinéma et séries télé", donc je ferme la parenthèse. J'en reparlerai sans doute le jour où j'aurai terminé Gothic 3 pour donner mon avis sur tous ces petits jeux à la durée de vie monstrueuse...
Je vais donc tenter de rattraper autant que faire se peut une partie du "retard" accumulé... Souhaitez-moi bon courage. Entre les voyages virtuels des contrées bucoliques de Two Worlds et ma balade en Provence, je fais aussi encore quelques promenades dans mon canapé ou dans les fauteuils de cinéma. Enfin, surtout dans mon canapé mais bon.
Pirates des Caraïbes 3 (vu la semaine dernière) m'a complètement séduit de bout en bout. Je crois que Milady et moi sommes les seuls à avoir ouvertement adoré cet ultime volet, voire à l'avoir préféré au premier.
Little Miss Sunshine (vu avec des mois de retard...), apologie de la lose (c'est Proust lui-même qui le dit, apparemment), est quant à elle une oeuvre attachante qui vaut bien la peine d'être vue mais trop prévisible et pas assez novatrice pour vraiment mériter d'être achetée en DVD... C'est vraiment la lose pour les producteurs, ça.
Le Diable s'habille en Prada part d'un bon concept mais s'enlise rapidement dans le déjà lu, déjà vu et déjà entendu. Le film entier est porté par Meryl Streep, une fois n'est pas coutume.
En tout cas, le bouquin a dû fortement inspirer la série Ugly Betty, elle-même adaptée d'une série colombienne un peu cheap... La saison 1 américaine est drôlatique et souvent touchante. Un succès bien mérité. On se souviendra surtout des deux "méchants" hauts en couleurs (voir photo), qui sont dépeints avec bien plus de malice que le personnage principal, qui ne démérite pas pour autant.
La fin de la saison 1 de Heroes était moins emballante, mais ça ne change rien au fait que cette série a démarré sur les chapeaux de roue et que c'est proprement génial de voir propulsé au rang de star un ancien animateur 3D chez ILM, reconverti acteur, et qui ne parle quasiment qu'en japonais sous-titré dans la série ! Triplement mérité, là, ne serait-ce que pour lui. Ah oui, et la saison 3 de Desperate Housewives vaut aussi le détour. Une première moitié dans la lignée des saisons précédentes, avec des mystères, des meurtres et autres délires, puis une seconde moitié plus calme, plus axée sur les relations entre les personnages... Les deux me conviennent très bien, merci les auteurs pour avoir osé écrire une série aussi délicieusement tordue !
Je vais donc tenter de rattraper autant que faire se peut une partie du "retard" accumulé... Souhaitez-moi bon courage. Entre les voyages virtuels des contrées bucoliques de Two Worlds et ma balade en Provence, je fais aussi encore quelques promenades dans mon canapé ou dans les fauteuils de cinéma. Enfin, surtout dans mon canapé mais bon.
Pirates des Caraïbes 3 (vu la semaine dernière) m'a complètement séduit de bout en bout. Je crois que Milady et moi sommes les seuls à avoir ouvertement adoré cet ultime volet, voire à l'avoir préféré au premier.
Little Miss Sunshine (vu avec des mois de retard...), apologie de la lose (c'est Proust lui-même qui le dit, apparemment), est quant à elle une oeuvre attachante qui vaut bien la peine d'être vue mais trop prévisible et pas assez novatrice pour vraiment mériter d'être achetée en DVD... C'est vraiment la lose pour les producteurs, ça.
Le Diable s'habille en Prada part d'un bon concept mais s'enlise rapidement dans le déjà lu, déjà vu et déjà entendu. Le film entier est porté par Meryl Streep, une fois n'est pas coutume.
En tout cas, le bouquin a dû fortement inspirer la série Ugly Betty, elle-même adaptée d'une série colombienne un peu cheap... La saison 1 américaine est drôlatique et souvent touchante. Un succès bien mérité. On se souviendra surtout des deux "méchants" hauts en couleurs (voir photo), qui sont dépeints avec bien plus de malice que le personnage principal, qui ne démérite pas pour autant.
La fin de la saison 1 de Heroes était moins emballante, mais ça ne change rien au fait que cette série a démarré sur les chapeaux de roue et que c'est proprement génial de voir propulsé au rang de star un ancien animateur 3D chez ILM, reconverti acteur, et qui ne parle quasiment qu'en japonais sous-titré dans la série ! Triplement mérité, là, ne serait-ce que pour lui. Ah oui, et la saison 3 de Desperate Housewives vaut aussi le détour. Une première moitié dans la lignée des saisons précédentes, avec des mystères, des meurtres et autres délires, puis une seconde moitié plus calme, plus axée sur les relations entre les personnages... Les deux me conviennent très bien, merci les auteurs pour avoir osé écrire une série aussi délicieusement tordue !