Mention bien à tous ceux qui auront complété le titre d'eux-mêmes. Vous les sentez arriver les fêtes, vous aussi ? Les rayons de mon Virgin sont en fleurs, ça sent plus la sueur des flâneurs que la rose, mais le coeur y est et les rayons de soleil filtrent à travers les nouveautés. Un aperçu du résultat des courses (du moins les miennes) pour ces dernières semaines : DVD de Boston Justice (paraît-il que c'est aussi drôle qu'Ally McBeal ?), de Gandahar (un sujet qui a visiblement passionné les foules, n'en jetez plus, la base de données va exploser), Dharma & Greg (je trouve cette sitcom très drôle, je fais ce que je veux merci), Enfermés Dehors (je ne sais pas pourquoi je ne vais jamais voir Dupontel au cinéma, mais je me suis juré d'acheter tous ses films les yeux fermés depuis le miracle du "Créateur"), et sans doute un ou deux autres trucs que j'ai oubliés.
Dans le lot, j'ai aussi cédé à la tentation du Démon en achetant une Nintendo DS et deux jeux stupides dessus. Déjà, 42 Jeux Indémodables pour voir si leur Mahjongg Solitaire était valable par rapport au mien... Je vous rassure tout de suite, c'est une véritable honte, comme je m'y attendais... Bon, c'est surtout pour faire des parties de cartes le jour où je me trouverai des amis pour y jouer (j'ai toujours espoir). Ah, et puis Animal Crossing Wild World, qui m'a fasciné pendant deux jours avant de retourner dans sa boîte. J'ai un peu de mal avec la logique tordue de son univers, je m'y remettrai plus tard. Allez, tout ça ce n'est que le hors-d'oeuvre... Si j'ai acheté la DS, c'est surtout pour jouer à Final Fantasy III, que je devrais recevoir dans la semaine si tout va bien. En priant pour qu'il ne me bouffe pas tout mon temps libre...
Pour terminer, je me suis laissé tenter par Runaway 2. Je précise que ce n'était pas gagné d'avance. J'avais gardé un très, TRES mauvais souvenir du premier épisode, d'un ennui à mourir, même pas drôle, et qui avait été encensé par la presse comme le renouveau du jeu d'aventure à la Monkey Island. Oui, et ma grand-mère danse en tutu sur la plage aussi. Seul Joystick à l'époque avait su dénoncer l'arnaque, et je crois bien que c'est aussi pour ça que je n'en ai plus raté un numéro depuis (ainsi que de Canard PC, fait par l'équipe d'alors). Bref, Runaway 2 s'est récolté une bonne note chez Canard PC, alors c'est parti... Et c'est même rudement bien parti. Après un premier chapitre plutôt drôle mais un peu court, on tombe sur une deuxième partie drôlatique, pleine à craquer de références pour les geeks comme vous et moi (oui oui, vous aussi), très longue, bien pensée et avec parmi les personnages une minette au charme incontestable. Je le précise parce que d'habitude les bimbos des jeux vidéo pas plus jolies que drôles. Bon, elle disparaît des chapitres suivants (pour être remplacée par une ado timide mais attachante), mais le reste du jeu n'est pas en, euh... en reste. Tout en devenant plus linéaire, il n'en est pas moins drôle et complexe.
Seul le chapitre 5 m'a quelque peu ennuyé (on tourne en rond dans un petit bateau, voilà qui est fascinant -- j'ai surtout réagi à la référence à Day of the Tentacle). La dernière partie, elle, mérite la plus grande attention de la part des nostalgiques de Monkey Island... Le héros y vit un rêve où il se retrouve dans la peau d'un clone de Guybrush Threepwood ! Ah là là... Ajoutez à ça un très bon doublage, des dialogues aux petits oignons (ceux du rêve de pirate, pourtant très nombreux, sont intégralement écrits en rimes !), et je garde un excellent souvenir de ce jeu, qui me fera me précipiter sur la suite de l'histoire à sa sortie en 2008. Ah oui, l'un des rares petits défauts en effet : il n'y a pas de fin à Runaway 2, juste un "A suivre" qui, heureusement, nous laisse plus dans l'excitation que dans la frustration. Youhou ! C'est où qu'on signe ?
Dans le lot, j'ai aussi cédé à la tentation du Démon en achetant une Nintendo DS et deux jeux stupides dessus. Déjà, 42 Jeux Indémodables pour voir si leur Mahjongg Solitaire était valable par rapport au mien... Je vous rassure tout de suite, c'est une véritable honte, comme je m'y attendais... Bon, c'est surtout pour faire des parties de cartes le jour où je me trouverai des amis pour y jouer (j'ai toujours espoir). Ah, et puis Animal Crossing Wild World, qui m'a fasciné pendant deux jours avant de retourner dans sa boîte. J'ai un peu de mal avec la logique tordue de son univers, je m'y remettrai plus tard. Allez, tout ça ce n'est que le hors-d'oeuvre... Si j'ai acheté la DS, c'est surtout pour jouer à Final Fantasy III, que je devrais recevoir dans la semaine si tout va bien. En priant pour qu'il ne me bouffe pas tout mon temps libre...
Pour terminer, je me suis laissé tenter par Runaway 2. Je précise que ce n'était pas gagné d'avance. J'avais gardé un très, TRES mauvais souvenir du premier épisode, d'un ennui à mourir, même pas drôle, et qui avait été encensé par la presse comme le renouveau du jeu d'aventure à la Monkey Island. Oui, et ma grand-mère danse en tutu sur la plage aussi. Seul Joystick à l'époque avait su dénoncer l'arnaque, et je crois bien que c'est aussi pour ça que je n'en ai plus raté un numéro depuis (ainsi que de Canard PC, fait par l'équipe d'alors). Bref, Runaway 2 s'est récolté une bonne note chez Canard PC, alors c'est parti... Et c'est même rudement bien parti. Après un premier chapitre plutôt drôle mais un peu court, on tombe sur une deuxième partie drôlatique, pleine à craquer de références pour les geeks comme vous et moi (oui oui, vous aussi), très longue, bien pensée et avec parmi les personnages une minette au charme incontestable. Je le précise parce que d'habitude les bimbos des jeux vidéo pas plus jolies que drôles. Bon, elle disparaît des chapitres suivants (pour être remplacée par une ado timide mais attachante), mais le reste du jeu n'est pas en, euh... en reste. Tout en devenant plus linéaire, il n'en est pas moins drôle et complexe.
Seul le chapitre 5 m'a quelque peu ennuyé (on tourne en rond dans un petit bateau, voilà qui est fascinant -- j'ai surtout réagi à la référence à Day of the Tentacle). La dernière partie, elle, mérite la plus grande attention de la part des nostalgiques de Monkey Island... Le héros y vit un rêve où il se retrouve dans la peau d'un clone de Guybrush Threepwood ! Ah là là... Ajoutez à ça un très bon doublage, des dialogues aux petits oignons (ceux du rêve de pirate, pourtant très nombreux, sont intégralement écrits en rimes !), et je garde un excellent souvenir de ce jeu, qui me fera me précipiter sur la suite de l'histoire à sa sortie en 2008. Ah oui, l'un des rares petits défauts en effet : il n'y a pas de fin à Runaway 2, juste un "A suivre" qui, heureusement, nous laisse plus dans l'excitation que dans la frustration. Youhou ! C'est où qu'on signe ?